Conception de prototype impressions 3D – mais que faire des pièces obsolètes ?
La machine conçue pour l’escrime par Mathieu Souville, fondateur de la société, est fabriquée à partir de matériaux d’impression 3D. Celle-ci est composée à 85% en impressions 3D, principalement du PLA biosourcés à base d’amidon de maïs.
Lorsque Mathieu Souville a conçu son prototype, il s’est retrouvé avec plusieurs pièces devenues inutiles. Mais que faire des pièces obsolètes ? Face à ce dilemme, deux solutions se sont présentées : la facilité de les jeter à la poubelle ou la responsabilité de les recycler.
Solution – recycler les matériaux d’impression 3D
Plutôt que de les jeter, Mathieu a opté pour une approche plus respectueuse de l'environnement : le recyclage. Et c'est là que l'idée d'utiliser, comme point de départ, un appareil à panini a émergé.
Maintenant, vous devez vous demander, mais comment un appareil à panini peut être utilisé pour recycler des matériaux d'impression 3D ?
Le processus est simple mais efficace : les pièces plastiques sont placées dans l'appareil à panini, où elles sont chauffées jusqu'à ce qu'elles fondent. Ensuite, la matière fondue est moulée pour créer de nouveaux contours de la machine.
Si l’appareil à panini est le point de départ vers le recyclage des matériaux d’impression 3D, A la Pointe peaufine au fur et à mesure son cycle de recyclage et partagera très prochainement sa solution définitive.
Pour réutiliser les pièces refondues dans les machines le processus de recyclage est en cours d’étude.
Le test avec l'appareil à panini valide le principe, et le processus de recyclage est en cours d'étude pour réutiliser les pièces refondues dans les machines.
Si l’appareil à panini est le point de départ vers le recyclage des matériaux d’impression 3D, À la Pointe peaufine au fur et à mesure son cycle de recyclage et partagera très prochainement sa solution définitive.
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